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il y a 7 ans
Dylan initiateur de plaisir entre homme
Dylan, c'est un bon copain de ma fille Charlotte. Ils ont 20 ans tous les deux et se connaissent depuis leur entrée en sixième. Je l'ai vu grandir, et ma fille nous en a parlé quand il a fait son coming-out à 18 ans. Ça nous a surpris un peu quand même, parce qu'il a l'air plutôt viril avec ses 1m85 pour 85 kg, tout en muscles, peau basanée, yeux bleus et barbe bien taillée. Charlotte était même un peu déçue quand elle l'a appris. J'étais persuadée pour ma part que c'était un b o u r r e a u des cœurs et qu'il pouvait faire tomber toutes les minettes qu'il voulait. J'avoue qu'il est sympa Dylan, et qu'il est toujours le bienvenu à la maison, où on l'a toujours bien reçu, même quand ça a été difficile pour lui avec ses parents quand il a annoncé qu'il était gay. Il est sympa, et il est canon, il faut bien le dire ! Il a un sourire ravageur, des yeux rieurs, et un corps de rêve, que j'ai déjà pu admirer quand il vient se baigner avec son petit slip de bain dans notre piscine. Il a des abdominaux bien dessinés, mais pas trop, des fesses bien rebondies et il semble être plutôt bien gâté par la nature question appareil reproducteur... Je me suis surpris à penser que les mecs qu'ils croise ne doivent pas s'ennuyer avec lui, et qu'ils doivent bien le sentir passer.
Moi, c'est Thomas, j'ai 45 ans, et je suis encore bien en forme, 1m80, 75 kg, bien musclé également, des cheveux noirs coupés courts et des yeux noirs. En ce mois d'août, je suis remonté une semaine avant ma femme et ma fille pour des travaux dans notre maison, ou plutôt dans le bâtiment qui sert de garage et de débarras. On a décider de l'aménager, et il faut y faire du tri et commencer les travaux de gros œuvre pour que l'entreprise de bâtiment que l'on a choisie puisse intervenir. Le mardi matin, j'ai ma femme au téléphone, et dans la conversation, je lui dit que je peine avec le débarras des pièces lourdes qui se sont entassées au fil des années, et que je vais peut-être devoir attendre d'avoir de l'aide pour les charger dans ma remorque et aller à la déchetterie. Le soir elle me rappelle et me dit que notre fille a eu Dylan au téléphone dans la journée, et qu'il passera peut-être le lendemain pour me donner un coup de main, et que ça lui fera du bien de se changer les idées parce qu'il a interrompu ses vacances avec son copain, qu'ils ont rompu. Bon, pourquoi pas si ça peut au final me permettre de terminer ce que j'ai commencé. Et j'entame mon mercredi sans y repenser plus que ça. A 14h00, je suis déjà en tenue, c'est à dire torse nu et avec un short coupé dans un vieux jeans, en train de charger une remorque quand on sonne. C'est Dylan.
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Ah, Dylan, c'est vraiment sympa de venir me donner un coup de main. Mais je ne veux pas t'ennuyer avec tous ces vieux trucs à débarrasser sous cette chaleur, c'est assez pénible.
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Ne vous inquiétez pas, ça me fera le plus grand bien de m'occuper, et puis j'aime bien rendre service.
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Bon, alors en parlant de service, tu vas commencer par me tutoyer, ça fait longtemps que l'on se connaît et ça me gêne de te tutoyer alors que tu me dis encore « vous ».
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Si tu veux Thomas, je peux essayer. Et puis, j'aime bien venir ici, ça me fait plaisir de t'aider.
On finit donc de charger la remorque avec des vieilles planches vermoulues. Vu la chaleur, Dylan a enlevé son t-shirt et il se retrouve juste avec un short de bain court. Je peux admirer sa belle musculature et sa peau bronzée. Il a un tatouage qui lui couvre l'épaule gauche qui est très réussi. Je remarque qu'il est épilé : aisselles, torse, et même les jambes n'ont plus un poil ! Je ne sais pas pourquoi, je me demande même si c'est la même chose dans son short de bain, mais j'évacue cette question assez vite, car le travail n'attend pas. On fait comme ça trois aller-retours à la déchetterie qui nous prennent bien 2h1/2, avant de faire une pause.
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Tu a pris un maillot ? Tu peux aller te baigner si tu veux pour te rafraîchir.
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J'y ai pensé, et c'est pourquoi j'avais mis ce short de bain, mais je n'avais pas pensé qu'il serait sale comme ça. C'est vrai que c'est trop bête de pas en profiter…
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Et moi je n'ai rien à te prêter, j'ai laissé tous les maillots de bain à Montalivet.
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Tu ne te baignes pas ?
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Si, mais du coup je suis obligé de me baigner à poil, mais bon, vu que je suis tout seul cette semaine, ça ne dérange personne non plus.
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Si ça ne te gêne pas plus que ça, moi je m'en fous de me baigner à poil, je fais même ça tout le temps en vacances en Corse, et avec le rugby, c'est douches collectives aussi.
m e r d e , j'avoue être un peu embêté quand même. Dylan, à poil dans la piscine ? Mais je ne veux pas avoir l'air bête, ou le laisser penser que c'est son homosexualité qui me gêne, aussi je réponds :
- Dans ces conditions, fais-toi plaisir, ça ne me gêne pas. J'ai l'habitude des plages mixtes naturistes et textile sur la côte atlantique.
Aussitôt dit, aussitôt fait, Dylan fait tomber son short de bain et plonge dans l'eau. J'ai pu voir qu'il était effectivement intégralement bronzé, et aussi épilé d'ailleurs, avec juste une zone de poils coupés courts au dessus de son sexe, qui est plutôt au dessus de la moyenne, comme je l'avais déjà deviné… Je commence à m 'éloigner, histoire de ne pas le laisser penser que je le mate, mais je l'entends :
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Tu devrais venir, elle est trop bonne et ça fait du bien de se rafraîchir.
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Non, ça attendra ce soir, mais vas-y, fais toi plaisir et profites-en !
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C'est moi qui te gêne ? Tu risques rien, au dessus de 30 ans, je touche pas !
Et il rigole en plus. C'est vrai qu'il fait chaud et que me tremper me ferait du bien, et sans réfléchir plus que ça, je décide de me déshabiller, et j'enlève mon short. Je suis nu en dessous, je n'aime pas transpirer dans des sous-vêtements qui collent. Je m'approche de la piscine, et je saute à mon tour. On se baigne tranquillement, je fais quelques mouvements de brasse sous l'eau et Dylan en profite pour me suivre. Je suis très troublé par le fait qu'il peut me détailler, mais je n'en laisse rien paraître. Sauf que c'est lui qui m'aborde franco :
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T'es encore bien conservé. Et rien à redire sur l'épilation non plus. Je ne te connaîtrais pas comme papa de Charlotte et comme hétéro, tu aurais encore du succès chez les mecs.
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Je vais prendre ça comme un compliment j'imagine ?
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Oui, bien sûr ! Je ne voulais pas te gêner, désolé si c'est le cas.
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Non, pas de soucis, je n'ai pas vraiment de doute quant à mon orientation sexuelle. Et toi, tu t'es toujours senti gay ?
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J'ai bien essayé quelques filles, mais j'ai toujours été attiré par les mecs. Souvent plus âgés d'ailleurs.
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Ah...
Je n'ai pas envie d'engager la conversation sur ce terrain que je sens glissant, et je décide de sortir pour couper court à cette conversation, mais Dylan me grille la priorité. Il me frôle pour me passer devant, je sens même sa bite qui me frotte, et je ne peux rien ignorer de son service trois pièces qui se retrouve à moins de 20 centimètres de mon visage quand il monte à l'échelle. Je peux même apercevoir un piercing qu'il porte au niveau de son périnée, juste quelques centimètres en dessous de son trou du cul, que je peux détailler également ! Jamais je n'aurais imaginé que l'on puisse se coller un piercing à cet endroit… Une fois en haut, Dylan me fixe dans les yeux et file s'allonger sur le dos sur un transat. Tout ça m'a incontestablement troublé, et quand je sors à mon tour, je ne peux que constater que ma bite n'est plus vraiment au repos. Je file vite me mettre sur le ventre sur le transat à côté de celui de Dylan, qui m'a suivi des yeux pendant mon trajet. Il n'a pas pu ne pas remarquer mon état, mais il n'a rien dit. Au bout de 10 minutes, je risque un œil de son côté. Il a fermé les yeux, et il est beau comme un dieu ! Je ne peux pas m'empêcher de le détailler, et de m'attarder sur sa belle bite, longue, épaisse et plus tout à fait molle non plus, remontée contre son ventre bronzé. Tout ça n'arrange donc pas mes affaires, et je commence à avoir un véritable érection. Plus j'essaye de ne pas y penser, plus je me mets à bander… Je suis complètement débordé par des sentiments nouveaux, forts et terriblement excitants que je ne peux empêcher de faire remonter. Panique à bord, je dois réagir, et je me lève vite en prenant soin de rester de dos, et vais vite remettre mon short, et file à la maison un moment pour laisser passer l'excitation. Quand je reviens, Dylan a ouvert les yeux, et je vois bien qu'ils sont baissés sur la bosse que l'on doit encore deviner dans mon short. Le mieux, c'est de faire comme si de rien n'était :
- Bon j'y vais, prends ton temps et rejoins moi quand tu es sec. J'aimerais enlever la grosse étagère métallique qui est vissée au mur en hauteur.
Pressé de m'occuper à bricoler pour passer à autre chose, je fais n'importe quoi en voulant dévisser cette foutue étagère qui est très lourde, et dont les fixations très vieilles sont en train de céder, et je me retrouve en position difficile à soutenir à bout de bras l'ensemble qui manque de s'écrouler sur moi. Je pousse un juron et suis obligé d'appeler Dylan à l'aide en urgence. Il arrive tout de suite, et se retrouve collé derrière moi pour m'aider à soutenir l'ensemble. On est scotchés l'un à l'autre, je sens sa peau chaude sur la mienne, je sens ses muscles bandés contre les miens, et son souffle dans mon cou. Et je crois que je sens aussi sa bite qui se durcit et veut se dresser contre mes fesses… C'est reparti de plus belle : je ne me contrôle plus, et je me mets à bander comme un âne dans mon petit short qui devient trop étroit. C'est Dylan qui interrompt au bout de deux minutes notre silence :
- Écoute Thomas, je vais passer sur ton côté droit, et on pourra continuer à soutenir tout ça en s'éloignant chacun d'un côté de cette étagère. Et puis on pourra soit la poser par terre, soit on la laissera tomber si on n'y arrive pas, mais on ne risquant pas d'être en-dessous.
Je lui obéis. L'étagère se retrouve très vite posée par terre entre nous deux, mais trop vite pour avoir eu le temps de me calmer, et Dylan et je vois qu'il est également encore bien en forme de son côté, nu comme un vers puisqu'il est venu directement depuis le transat où il séchait, et avec sa bite bien dressée. Là aussi, c'est lui qui prend les devants devant mon silence. Il me fixe, se rapproche de moi et se colle face à moi. Nos corps sont à nouveau collés l'un à l'autre, peau contre peau, et il s'est décalé juste ce qu'il fallait pour passer une cuisse entre mes jambes et je sens son gourdin sur ma hanche. Il me domine de quelques centimètres, et son visage est très proche du mien :
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J'ai eu peur pour toi. Tu comptes pour moi tu sais.
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…
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J'en ai déjà baisé pas mal des mecs bien plus âgés que moi, et à chaque fois je pensais à toi. Tu m'as toujours fait envie.
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Mais Dylan, qu'est-ce que tu racontes, ce n'est pas possible…
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Si, c'est comme ça, et tu vois bien que tu as envie de moi aussi.
Loin de me calmer, son corps contre le mien et ses paroles m'ont encore fait franchir une nouvelle barrière. Je me rends à l'évidence, il m'excite, et il ne m'excite pas comme une femme peut le faire, car je ressens que je suis sous son emprise, et je sens que c'est lui qui domine la situation. Et si c'est lui le mâle, je ne sais plus trop ce que je suis… Je n'aurais jamais imaginé une chose comme ça. Et quand il vient poser ses lèvres sur les miennes, je les ouvre, et on s'embrasse. Nos langues se mêlent, et ses mains me caressent doucement. Elles me caressent le dos, les fesses, et c'est jouissif. Il me déboutonne le short et me le descend d'un bloc, et comme il est à genoux devant moi, il vient me prendre la bite dans sa bouche pour la sucer, tout en me malaxant les couilles et les fesses. Je ne sais pas comment, mais on se retrouve bientôt près des transats, par terre sur une serviette. On s'est installé tête-bêche sur le côté, et il continue de me sucer, et comme j'ai sa belle bite dressée sous les yeux, je me décide à lui rendre le plaisir qu'il me donne, je l'enfourne à mon tour, comme si tout cela était naturel pour moi. Ce qui compte à cet instant, c'est de partager notre excitation et de donner du plaisir à son partenaire, peu importe son sexe. Je n'ai jamais sucé de bite avant, mais ça me plaît de sentir ce beau morceau lisse et chaud dans ma bouche, de le lécher, de l'avaler, de descendre jusqu'aux couilles que je peux caresser et serrer dans mes doigts. De son côté Dylan me suce comme jamais je ne l'ai été, il sait bigrement bien s'y prendre. Je sens qu'il vient mouiller ses doigts sur ma bite, en prélevant le liquide séminal qui est arrivé au bout de mon gland, et tout de suite après, je sens qu'il m'enfonce un doigt dans mon anus. Jamais rien ne s'est enfoncé dans mon trou comme ça, et je veux protester, mais j'ai la bouche pleine…
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Hmmm, non !
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Laisse toi faire Thomas, tu ne le regretteras pas. Profite plutôt de tout ce plaisir que je vais te faire découvrir. Je te promets que si ça ne te plaît pas, j'arrête.
Et il continue d'enfoncer son doigt. Je suis tétanisé et j'ai arrêté de la sucer. Dylan s'en fiche, il s'est positionné pour me lécher l'anus et me travailler de sa langue. Je suis complètement dépassé par le plaisir que ça me donne, et je m'abandonne à lui... Je n'aurais jamais imaginé que je pouvais aimer ça. Dylan peut maintenant enfoncer son doigt sans problème, et il le fait tourner dans mon cul, en y ajoutant aussi de la salive. Il y enfonce bientôt un deuxième doigt, qui commence aussi à me travailler sans douleur aucune, tellement je suis relâché. Il continue de me bouffer le cul et de le travailler pendant au moins dix minutes, pendant lesquelles je ne peux pas retenir des gémissements de plaisir, et puis il se retourne pour pouvoir se mettre derrière moi et positionner son gland à l'entrée de ma rosette. Il pousse tout doucement, et s'enfonce de quelques centimètres, mais je pousse un cri de douleur.
- C'est normal, ne t'inquiète pas, mais tu vas voir que ça va passer vite.
Il reste en moi 1 minute, et commence à bouger par de petits mouvements de va et vient, je sens qu'il continue à ajouter de la salive le long de sa bite qui est déjà bien introduite dans mon petit trou et la douleur passe doucement. A ma grande surprise, je sens bientôt ses couilles contre les miennes : il s'est complètement enfoncé dans mon cul. Bon s a n g , je me fait enculer, et je crois que j'aime ça ! Il accélère doucement le rythme, et je n'ai plus du tout mal. Ce que je ressens au niveau de mon anus est nouveau et jouissif, et je bande dur tandis qu'il continue ses mouvements.
- Aller, viens te mettre à quatre pattes maintenant !
Il se retire de moi, et je le laisse me positionner à quatre pattes, le cul offert à son bon vouloir. Il en profite pour me le bouffer à nouveau, et me le lubrifier encore avec sa salive. Et il s'y enfonce à nouveau… Je ressens une petite douleur, mais qui passe très vite. Il me tient par les hanches et se met à pilonner à un rythme plus élevé. Ensuite, il joue avec mes nerfs en se retirant complètement de mon cul, pour s'y enfoncer d'un coup, plusieurs fois de suite, en m'arrachant un cri de plaisir à chaque fois. Au bout d'un moment, il veut changer de position :
- Et maintenant, sur le dos !
J’obéis à nouveau, toujours sous son emprise et dans un état second… Je me mets sur le dos sur un transat, et j'écarte mes jambes. Il se remet à m'enculer doucement.
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C'est comme un missionnaire avec ta femme tu vois, sauf que c'est toi qui te fais baiser. Tu aimes ?
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…
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C'est dur d'admettre que tu aimes te faire baiser ? Mais ça se voit, tu bandes sacrément dur. Alors tu aimes ?
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Oui, j'aime ça, mais arrête de parler et baise moi putain !
Il me saisit la bite, et commence à me branler tout en continuant à me défoncer le cul. Dans cette position, sa bite me lime la prostate à chaque passage, et je sens une jouissance forte et incontrôlable qui arrive sans prévenir. Je crie de plaisir en éjaculant une quantité incroyable de sperme sur mon torse et jusque sur mon visage. Dylan continue quelques coups de reins, et jouit à son tour dans un râle de soulagement. Je sens son foutre qui me gicle dans le fion ! Il reste un moment dans mon cul, et se retire enfin. Il approche son visage du mien et vient lécher mon sperme qui est sur mon visage, puis il vient m'embrasser.
Les deux jours suivants, il est revenu pour finir de m'aider à débarrasser, mais surtout pour m'enculer. J'avais hâte de le voir arriver à chaque matin et rien que d'y penser, je bandais déjà. Le dernier jour, il m'a mis sur le dos, et après m'avoir baisé un moment, il est venu me chevaucher pour s'empaler sur ma bite, et j'ai pu l'enculer à mon tour. Il m'a dit que j'aurai le droit de temps en temps de le sodomiser, mais que majoritairement, c'était à moi de me faire prendre.
Une fois ma femme et ma fille rentrées, on a repris nos activités chacun de notre côté, mais je travaille souvent de la maison le mercredi après-midi, et je lui envoie alors un texto pour qu'il vienne s'occuper de mon cul. J'ai bien réalisé à quel point tout ça est immoral vis à vis de ma femme, et combien c'est dérangeant pour moi d'assumer mon côté féminin et de me laisser baiser à son bon vouloir, mais le plaisir est trop fort !
olo-Bi
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